ÉCRIRE À LA CORDE
l'ami commun, Marcel Conche / ÉCRIRE À LA CORDE / Je veux parler librement parce que j’ai l’amour du vivant / Esther Ferrer, 1979 “Pistolet avec drapeaux" série jeux éducatifs dans la morbide économie kapitalbalkannibalistique
avec un tel pseudo, avec une dizaine de messages par jour, avec parfois des photos ou des musiques allant dans les sens des désécritures, il te paraît clair que cette page FB est sa page d'écriture brute, un lâcher de ballons ou de bombes, selon ; c'est une écriture à deux faces, une écriture s'inventant en s'invitant par nécessité intime donc libre :
- la face Voragine où sont bien pinées les pines à morpions de la morbide économie comme dirait Tristan Laouen citant Harmut Rosabourg, Crawl Marx ou Mickaël Occult :
JCG
abeille pollinisée / noeuds / L’avant garde c’est le réel, mais pour le toucher faut mouiller sa truelle mes gazelles / défaire orphiquement les noeuds / s'envoler à l'ivresse dionysiaque / faire le bond sourd de la bête féroce
ÉCRIRE À LA CORDE
Je suis ton asperge, ton hypoténuse, ta sœur de Syracuse
Mais certainement pas ta muse
Une muse c’est une morte d’économie par l’anomie
Moi je suis chercheuse de geste au présent infini
Plus tu es rationnelle plus tu es soumise socialement à la Question par les plus cochons d’Indes qui s’accrochent à tes tétons pour finir par t’arracher un jarret, un jambon, ta panse de brebis farcie, et vivre à crédit avec les morceaux abstraits ou charnus de ta vie.
Tu deviens une verrue peau de chien dans la répéttiion de leur excrémentation partielle de pucelles du transférentiel.
On n’en est qu’au jambon mi cuit de la théorie
tant que vous dégagez les visions que par le prisme du zizi post industrie.
C’est moi qui vous le dit !
Va falloir élargir le soupirail d’yeux de paille
et de fœtus de la jouissance d’anus !
De catalogue démagogue d’identification,
Va falloir soulever le voile de l’idée sans s’exonérer dans les représentations des ennemis désignés, sans tuer dans la lumière des poursuites de chasses à l’autre où tout se vautre.
Va falloir mettre de l’ordre, se tordre un peu, s’emmêler les cheveux et bouffer ses noeuds !
Ce que le discours reprend il le tue tout le temps.
Il faut que les signifiants traversent le corps comme un fiât d’amore.
Hors, l’Ensemble a dissocié non par adaptation mais par lâcheté, l’intuition, le touché, la sensation et les géométries de la nécessité.
La psychose blanche discourt et tue, sépare le gain et le salut d’un départ de vérité, pose des peaux de bananes sous les pas des Voix qui dépassent le cercle nerveux des réflexes maniaques, elle rate le manque de la chaîne signifiante, le lien physique d’un Imaginaire technique.
Je ne suis pas pure, ma langue suppure sous la torture sociale où la structure obsessionnelle détruit le bleu du ciel.
Je suis dominée.
En tant que femme autrice soulevant les lièvres encore vivants je n’ai jamais été aussi isolée que depuis que le féminisme s’est financiarisé.
D’un certain point de vue c’est une validation des processions excluantes du capitalisme d’épouvante qui dévore les grandes plantes, et de l’autre c’est une tristesse collective qui vient prolonger mon livre et démontrer qu’au delà d’un phénomène de tri androgène, d’une domination bestiale remontant la mémoire de l’espèce quand la perte menace, la reproduction du système de domination n’épargne pas les réflexes des guenons lorsqu’elles n’ont pas fait le travail de porter leur condition.
L’élimination ne relève pas tant d’un déterminisme naturel que d’une réplication des comportements sociaux, de classes et d’angoisses réflectrices qui ferment le couvercle du cercueil sur l’œil, quand appelle la jouissance d’écueil et les vengeances libidinales d’une ordonnance sociale.
Le libéralisme ressemble à une contagion de maladie mentale d’exonération libidinale. À l’autorisation silencieuse du meurtre au plan intersubjectif, comme si l’émanation politique de l’idée de Monde devenait le La immonde de l’intime, comme si nous perdions le hasard et que les cellules miroirs étalonnaient leur gloire sur les quantités et les mouroirs.
Que deviennent les signifiants ?
La fameuse distance, une flatulence chimique de répliques dénégatives, une stratégie d’évitement, une démission, une violation des lois de vie, un narcissisme libéral bête, taré, le maquillage permanent sur le Réel, de la merde industrielle d’idéologie sacrificielle, avec ses petits ordres de sourires, son contrôle sur les expressions, l’interdît de vérité, l’interdît de spontanéité, le tri permanent dans les émotions des gens, l’immonde marché du bien être, l’humiliation de la condition, la contagion du fascisme, le tourisme intellectuel, le non regard au rang d’art, l’anti lien, la conglomération Silencieuse, l’ordre natif de l’érectilité inconsciente à la rente, l’histoire des morts,la voix des morts comme capital, l’immonde soustraction paradoxale, les morcèlements pédants par clans invisibles, les mafias affectives, à La Défense de son cul, de son nombril, de son esthétisme superficiel de société culturelle désossée de toute profondeur effective, la beauté sans eaux vives, les cerveaux pétés des enfants sur la barge du temps, nos retards brouillards, nos héros rock’n roll totalement obsolètes, le charme pourri de nos embourgeoisements, la décrépitude immobilière, la poudrière atmosphérique qui fait de nous des rats d’Amérique, les sceptiques ou croyants artificiels absurdes ineptes abjects des sports exotiques et des jobs du fric, les bambouseraies, les relations décoratives, les récupérations de luttes pour pomper du fric comme des putes, la honte, la honte qui s’étale, le silenc sociale, l’hypocrisie historicienne, la mort d’une bourgeoisie de savoir, qui savonne l’Espoir, les inductions médiatiques fabriquant leur politique délirante de Monopoly orgiaque ridicule et funeste , l’inaptitude professionnelle des sélections, la gloire aux plus cons, les arguments à la plume miroir, une perversion d’urine, d’habitude, de maigre amplitude, la perfidie, la lâcheté, la médiocrité, le mensonge, le carnaval caricatural bouffant les intervalles vertébraux, l’animal rival des sélections mécaniques de la réduction organique, la misère d’une non dialectique des instances et l’outrecuidance, l’intériorisation de pragmation, l’histrionisme de stérilisation, la profusion d’incantations , le viol des intuitions.
La violence
La mémoire vive n’est plus dans les livres
Il faut la vivre
Théorie générale des réductions spatiales
Sur l’antériorité négative
des défenses oppressives
Thèse de l’école des folles
Au cerveau corps arboricole
Outils de bois et démonstration sans nom
Os trace de l’intérieur
Un pied dans la merde un pied ailleurs
Concept majeur sans doigt : spéculum autonome et aporie d’octrois
Fœtale d’emplissement et flash d’éblouissement
Enfance civilisationnelle et violence culturelle
Peux-tu dessiner les courbes de ma fluidité
entravée par les raptus de projections d’anus
et la pulsion de mort de l’économie psychique
des dealers d’objets taxidermiers ?
Mediator
La mysoginie n’a pas de sexe, elle a une structure et un nombre, derrière, son crâne est sombre. Et c’est de l’aplomb propre au non dialectal, au fermoir occipital que l’on tombe. D’un seul coup. Après rafle des traces tu deviens l’égout. C’est tellement évident quand on circonscrit dans le temps la forclusion du mouvement, l’insipidité des significations sans révolution ergonomique, sans création vitale, sans imaginaire enraciné dans la nécessité qu’on souffre sans souffrir.
Il n’y a pas de dépression, mais une tristesse objective devant la cratérisation du livre.
Joie sait pleurer
Chez moi les clartés s’assombrissent, comme disait Marcel, parce que je ne suis pas pucelle du Réel et des entraves sacrificielles d’économie de cervelle.
Ne lisez pas Bataille comme un placement de Voix au pays de l’homoengendration et de la satisfaction.
Prenez en dans la gueule du corps, plein le son.
Le signifiant argent peut tuer un visage en un éclair
La bouche se serre et l’œil humidifie son envie, les paysages de l’intersubjectivité, l’existence déployée s’effacent, la pronation excite une tension, et l’humain devient jouissant en réduction, tout son corps oublie la mort, les volumes et les forces opérant dans la Nature du manque. Comme dans la sexualité.
L’anti-création des combustions libidinales commence à faire mal, même à ceux qui ne sont pas folles. On va manquer de camisoles.
Silence Euclidien hante bien.
Les narrations de manipulation gagnent avec la peur de la perte, tout le temps, elles recouvrent tout, et induisent un scénario fantasmatique de crise de « civilisation » ou « de religions » totalement théâtralisé, provoqué, faux.
C’est une interprétation de pure excitation pour masquer la primitivité libidinale. Le sadisme anal auquel sont rendus les détenteurs de capitaux pour maintenir leur rente de situation, leur dopamine d’animaux d’impasse, pour qu’ils puissent continuer de croire en leur Pouvoir. Dessous ruisselle le fiel de ce terrorisme intellectuel qui désignera le corps d’éclat et de mort. Celui que le groupe avide suicide pour rendre plus fluide, invisible, sa part excrémentielle .
Primitivisme sacrificiel. Avec crème historique à la sauce utilitariste et une odeur profondément débile de jouissance d’essence sur pensée tiède, avec Catharsis moraliste en intermède.
Ils ne veulent pas péter le garde corps de leur barrage d’animaux morts au langage et à la connaissance.
De l’intime au politique
De l’enfant à l’adulte
Les spatialités s’amenuisent
Les réflexes maniaques justifient leur niaque par l’inspiration paranoïdale qui les soulage du doute, et du travail de la paix, et de l’altérité.
Ce que la Voix féminine annonçait n’est rien d’autre, que cet autre annulé qui facilite l’investissement dans l’ordre déviant d’un idéal.
L’idéalisme est toujours le fascisme de contention d’une perversion sociale générale.
Le droit de tuer est revenu par la liberté d’un impensé qui ne supporte pas le bâti des voix.
« Tais-toi »
L’oppression, quand elle est sortie des récitations professionnelles, des missels antifascistes des fétichistes de l’esthétique, la plupart des gens l’ont adoptée immédiatement.
Comme si c’était tout blanc et plat dedans les gens, finalement.
Il se sont révélés sans intuitions, sans corps méta-fondant.
C’est hyper bizarre maintenant.
C’est la boucherie du jugement superficiel qui décharge son angoisse dans les corps habités de traces. C’est la chasse des rétroactions, des sevrages d’espèce, quand la condition régresse et que le manque menace .
Dans le corps habité de traces, l’obsession peut enfoncer sa merde d’indigestion, c’est profond. Ils échappent à la réflexion miroir, y trouvent des os compensatoires et des suspensions délicates.
C’est le corps économique de son exonération, il vit dans la crème culturelle qui recouvre la transaction de mort qui assure ses injections dopaminiques et ses pertes électriques.
Junky tantrique
Le fascisme est la propagation des dilutions du psychisme d’adaptation.
J'ai la morula bleue quand j'écris dans les creux
J’ai un désintérêt profond pour l’objet quand il devient le stimulant dément des régressions de l’autre. Un démêlant d’exténuation, quand rien ne forme plus de passage et que les visages crispent une projection qui annonce et menace. Les conflits sont des surfaces. Vous vivez hors volumes désormais, l’éditeur me hait. C’est un enfant des livres du capital. Moi je suis une besace occipitale. Je suis une menace de tremblement.
L’ami a rapté le film, dans sa boucle intime de connections d’images. L’autre a signé la transaction des stérilisations, les haines libidinales les ont conduits aux vengeances animales. Ma langue est un Népal Beauceron d’enfant tôt initiée à la lumière des os dans le Vert du rayon d’un sureau. Par hasard. Je suis né quand meurt l’art dans l’objet. Je suis né quand le confort sépare la culture de la nécessité des métaphores. J’ai visité la maison de marbre et bu le lait de l’arbre.
Les réalisateurs ont volé par deux fois en couple, par photocopies et mise en concurrence de croupes. Il fallait bien ça pour qu’ils boivent la coupe d’une jouissance, avec cet étrange habitus erectus. Et les actrices prolongatrices. Il y a des cicatrices d’anus sur les existences où des jouissances finissent de hisser leur terrorisme en entravant les corps en mouvements.
Vous savez, il est fort possible que l’Ensemble défensif de l’étalonnement oppressif , l’économie psychique la plus prégnante et la vantardise libérale du sujet, son droit autoritaire à baiser ou à obtenir du droit par des particularismes dont la texture ressemble à une pauvre confiture, plus qu’à la structure ordinale d’un délire hospitalier, expansif et harmonieux, soit la preuve même que le verbe doit souffler dans le vent, les ligaments, et selon les dimensions très simples.
Car tout nous sépare physiquement depuis que les cerveaux trempent dans ce tempo démagogique de leur développement métabolique et adoptent la facilité professionnelle de l’assouvissement surréel.
Le sacré c’est le rationnel.
Beaucoup d’amis sont venus non des nuages mais du clivage ontophage qui tranche à l’usage dans l’ange : le surcroît étrange des espaces si tu crées.
Non de l’objet, mais du lien .
Il y a eu la remontée d’un réflexe ancien.
J’ai un rêve de justice en métaphore quand les corps sont dans la honte défensive et tiennent à la brume ma plume. Je voudrais un banquet de voix sur une table de bois où, Nous l’humain, ouvririons une soupière de lave en ébullition pour y Voir l’équation de lumière qui assèche le nerf des instincts, des physiologies, et que logos et os retrouvent les spatialités que vous n’avez pu que tuer.
Il n’y a pas d’art sans honte.
La Parole est un arbre avec des jambes.
Ce sont des rapports de vitesses, et de stratégies de contrôles, de morts économiques qui frôlent. L’obsessionnel dit ce qu’il est. Il suffit de remonter son langage. La rétroaction étrange à qui étaye sa langue entre sensation, géométrie et action.
La prévoyance du Silence rend la note de son langage. Un maquillage sans liens fins. Un trait non ancré et un droit de tuer qui opère. Car le dire ne change rien.
Il y a une scission de moins en moins graduelle, un droit archaïque qui apparaît, en réalité, sous les livres de Lois qui ont brûlés déjà.
Car les grammaires blanchissent la violence dans les chairs. C’est la jouissance qui espère et confond, la nuance et la négation.
La pudeur et la responsabilité interdisent l’exemple concret tant la laideur agit et défait le lit des rivières, des amours et de la connaissance.
Tu veux une danse pour oublier.
Mais c’est pas mon métier.
Voragine Fosproy face Élodie Després pile
(10 mars 2024 - 31 mars 2024 avec réminiscences sur 2023 et 2022)
Venez faire du saut à l’élastique, allez, sautez, traversez le grand vortex de la charcuterie désossante de l’idéologie de rentes / Courage
Gestion dopaminique et élimination économique chez les grands singes.
Tu possèdes tu n'es plus peau cédée
Ils attendent les subventions pour retrouver la Raison. Et dire l’abomination. La lettre du pouvoir est toujours en retard. Un revolving à bouches miroirs quand il est trop tard. Les morts c’est bien, ça rapporte, et ça n’engage à rien.
Remplissez vos dossiers d’occurrences prévisionnelles, d’enfants morts et pas chers, dans la déférence temporelle qui assure le retour sur investissement de l’ensilenciation.
Prolongez vos fictions d’exonérations de classes, raflez en masse par la disjonction dégueulasse de vos pensées de surfaces.
J’veux un tailleur, une raideur honnête
Une robe squelette
Besoin de symboliser ma racine carrée
Parce qu’ils me butent dans leur morale de putes snobes de littérature de libidinouze de fin de partouze.
Quand tu perçois les conséquences de Voix tu dois.
L’arbre c’est l’écorché aux terminaisons nerveuses ajourées
Clarté
Les fictionnaires d’état
C’est cet embourbé de l’art secondaire
Moi je suis postière
Faites-vous animaux du vrai
Vos fictions sur les fictions
Sont un champ de coton
Quand le jeu de domino aura tombé tous les os, nous n’aurons plus l’achoppement partiel des défenses qui suivent la vague immense des violences. La femme sera le même homme car la domination n’a pas de sexe, en réalité, mais un réflexe animalier de bouche sèche et serrée.
Réel répond
Il exprime l’ordre des intentions
Ce rebours où nous ne faisons plus l’amour
Les chansons meurent à la kommandanture
Il suffit d’une toute petite contrariété
au junky social de l’image érotophage,
pour qu’il tue et rembobine les heures d’usine.
Leur légèreté est une rapine, une superficialité d’inconséquence, une connerie d’aisance ignorante.
Avec le terme économique d’une projectivité dynamique dont il ne mesure absolument pas les conséquences, il y a même dans la crispation des solutions lyopholisées de mémoires industrielles qui gonflent au besoin, quand il faut annuler le soin, la voisine, l’enfant, des sexualités de vengeances, du symbolique exotique, un pauvre à baiser quelque part pour le soumettre à l’Espoir migratoire.
Il n’y a plus d’objets d’arts.
Ce qu’on est on ne le possède pas
Vous ne pouvez que tuer
Et décorer vos Voix de rafles séquentielles
validées par le fascisme déjà trop installé
du surréel, c’est à dire d’un rapport dupe
à la fiction
Moi je ne sais pas du tout
Je ne sais pas du tout comment
nous pouvons ne pas voir les sélections
du retard sous les ossements d’enfants .
L’obsessionnalité constitue dans ses complicités silencieuses l’émanation politique de la Perversion.
Le Grand Con des psychoses blanches
Et les raideurs faciales des directeurs de la morale
Le fric des putes qui détruisent les luttes en raflant la chance par la laideur d’adaptation de la solution finale et la négation virale.
La tumeur sociale.
Vous naviguez au cul des idées
Vous n’y êtes pas
Ce qui broie à l’achoppement des voix c’est la ligature instinctive et la morale pré abortive du discours, de la Kulture, du réflexe, cette rollflexe invisible des physiologies d’une démocratie de sujets malades.
Ma Voix était la maison et le cadre de l’image mouvement, l’usine de transcription et de création,
Mon corps caméra, chambre noire des bords et des triangulations de projets, la grange mon palais.
Qu’avez-vous fait dans cette étrange fiction du Monde ? Alors que je mesurais les ondes entre l’hôpital en ruine et le Silence de Pute qui nous ampute, qui nous sépare, ce brouillard.
J’ai travaillé et vous avez répété la destruction d’une programmation sociale très pâle. Quand l’homme m’a éliminée, la femelle a fui, j’ai vu les femmes nazies tuer la poésie. J’ai vu la libidinalité épouvantable des imaginaires insolvables trahir le vivant, dans des prises et reprises. Le cinéma c’est le pare-brise.
Vous m’avez appris à ne plus aimer. Ces dernières années. Et la structure rétroactive des sujets dérivés d’une bourgeoisie de l’idée, qui ne connaît pas son corps. Qui n’a pas bâti sa voix. Vous m’avez appris que vous voliez ce que vous ne comprenez pas . Et que l’argent dont vous ne manquez pas, représente l’étalon profond de vos physiologies de confort et d’ignorance. Vous m’avez appris la récurrence structurelle de la violence.
Peut-être battre un fléau de Temps
Sévèrement
Me privant
Pour vivre spontanément la vérité d'un Poème
Ce mouvement d'amour légal de chair transcendantale
Ajusté
Je voudrais tant retirer
Le gilet pare-balles
Qui me fait mal
Un féminisme sans Marxisme
ne constituera pas un progrès
pour l’humanité, il ne sera qu’un
phallicisme imitant le vide d’un
pouvoir archaïque qui, en plus
de ne rien changer, encouragera
tout à fait la disparition
de la féminité du monde.
Le Pouvoir est immonde
d’où qu’il vienne, mécanique
ancienne….
De toute façon ça sent la crème d’anus autoritaire y’a une pulsométrique sonore qui catapulte des animaux morts, expédie par les yeux blancs collés sa temporalité arrière, l’intentionnalité forme des sauts négatifs dans une langue abortive avec diminution de propositions, et pédale tampon, et tuberculose de libidoze étalonnée à la sauce mortier, rapidité d’économie pure de kapo de la figure.
Réductiomètre
C’est-à-dire toi du jouir nerveux,
Tu crois au jeu de proie et au meurtre dodécaphonique des images chronologiques
d’identification culturelle.
C’est-à-dire que vous tuez pas exprès quand vous détruisez les œuvres, l’enfant, la santé.
C’est-à-dire que l’image fascinante (fascinum) est un couteau démago, une bobinette de bête meurtrie, un turbo injection de négation implicitement autorisée par l’introjection d’une valeur sociale du sujet.
C’est une bascule de transaction nulle.
Un jet privé qui encule un nuage, ou bien percute des oies sauvages parce qu’il ne contrôle plus rien, en vrai. C’est ce qui est Exprimé.
Le meurtre est une soustraction réflexe d’espace.
Alors, dans les cartes de voix fragmentées par ensilenciations filées je remarque un relief depuis l’aéronef, une accélération de division sous le mode clivé de l’action, qui peine à ré-articuler sans tuer, comme si la dite structure ne parvenait pas à faire de choix harmonieux et devait dans sa croyance et sa physiologie trouver les conditions d’injections motrices qui passent par l’agressivité et la menace, l’exclusion coupable et défendue qui renvoie de fait au paradoxe de sa projectivité.
Comme s’il fallait que quelqu’un meure dans une rétroaction intentionnelle, sorte d’apriori sacrificiel.
Un conditionnement archaïque qui remonte et reprend un silence de honte quand le climat démonte l’ondulatoire naturelle et qu’il faudrait trianguler dans de nouveaux herbiers.
L’arnaque du réflexe maniaque envahit l’estomac.
C’est-à-dire que j'aurais jamais pu réduire quelqu’un que j’aime à la spermaculture des figures, aux amours hors sol, fétichiser les sexes pistol, confondre le vivant avec le monde de connardoll de nos egos rock-n-roll.
J’ai jamais confondu une personne avec les modes sans fêlures de nos caricatures transitoires. J’ai jamais tué pour la gloire. J’aime les trajectoires qui niquent pas le sens. J’aime l’essence. La puissance des moteurs de voix. Ça m’a fait honte tous ces plans serrés. Ça m’a fait honte d’aimer sous des mâchoires rétractées. Ça ravage la liberté. Ensilence la beauté. C’est-à-dire ... que ... ça vous fait pas vomir les anus de cuir, les capitons de sac congélation de la création...?
Le cadavérisme de voix tout ça ... les doigts de fils à papa, le capitalisme de l’art, ça vous donne pas envie de déplacer les pierres, de foutre en l’air justement, ce doigt misérable de la révolution rentable, de pas reprendre nos morts à peine morts, tout ça, ça va pas, nan, ça va pas. À force on dirait des nécrologies nos vies. Nos vies de désordre établi.
Je trouve les gens brouillons dans la vie et raidissant leurs expressions pour faire croire qu’ils maîtrisent alors qu’ils détruisent comme des casses-noisettes les crânes entre leurs fesses.
Vous êtes où ?
T’es où ?
Dans la passoire à trous ?
Les souffrances sont étoufées ou réinterprétées parce qu’elles montrent.
Parce qu’elles obligent.
Parce qu’elles obligent la conscience,
et l’acte.
Parce qu’elles obligent à autre chose que l’acte économique.
Les souffrances sont les nouveaux sexes cachés d’un panorama spectaculaire, qui ne supporte pas de voir, sauf si ce voir rapporte le bénéfice d’une théâtralisation , d’une mémoire d’automatisation du geste, d’une secondarisation, d’une mise à distance profitable, d’une petite messe exonérant de l’action concrète. L’art est devenu l’exosquelette du politique. Sa charte graphique .
L’objet n’est plus d’actualité.
Vous avez cru ne pas croire et le monde s’est transformé en passoire.
Vous n’avez pas rendu vrai ce qui était possiblement vrai et élargissant.
Vous n’avez rien désiré.
Rien.
Quand dire ne change rien, voire pire,
il faut aller dans le bois des os, brûler les oripeaux d’objets qui figent l’œil, les objets de Voix, les voiles, les linceuls, faire Voix de seuil pour voir où ta sœur a fermé le cercueil d’ivoire, faire voix de seuil, mouvement, gond d’engendrement et saisir une nouvelle objectivité par-delà la projectivité générale qui recale, rétropédale, fait régresser les formes des potentiels d’informations Actuelles.
Cette entrave structurelle que peu à peu ils rejoignent quand tu soignes, quelque chose imite et éloigne.
Elle est dure comment ta vie, toi ?
Elle est dure dans l’air et la facture, dans le lien, elle est dure comme un camp de concentration invisible dans les données du sensible, elle est dure comme une frustration de confiture ou bien comme une révélation d’économie pure, elle est dure à quelle place ta vie , dans la honte jouie ou dans lave hérité, elle est dure dans le réel ou dans une culotte en dentelle, elle est dure dans ton corps présent ou dans l’identification au monde, est-ce que tu as un geste en toi, un mode d’acte qui soulage sans dents, est-ce que tu as un chant existentiel sans contrôle partiel ?
La sédation aux instincts, des fictions, les rafles réflexes, les placements, les meurtres du mouvement, les reprises, les satisfactions qui sadisent, le mode cathartique presque trop répété, le retour du débridage, et la texture de l’impossible, l’entrave des spatialités suaves où le donné rencontre le sujet sensible, la prolifération des irréversibles, la notion de choix qui apparaît bien basse, bien freluquette, un peu sans squelette, avec ses réservations, sa projectivité un peu démodée, sa petite honte à ensilencer, sa culpabilité qui ne résiste pas à la pronation d’un Objet partiel, orificiel.
Le rapide insipide, l’étalonnement morbide de l’inassenti.
Vous n’avez jamais essayé de rembobiner vos organes de prises instinctives pour lessiver les meurtres et voir l’économie sans brouillard ?
Avez-vous partagé le langage sans marquage d’obtention, de gain, avez-vous poussé en vous autre chose que des compositions culturelles de validation d’œil poudreux ?
Avez-vous cessé de tuer quand vous aimiez ?
Avez-vous dépassé les moires d’aprioris invasifs de sélections, avez -ous percé votre corps pour ne pas ressembler ?
Dans la chute du langage j’ai aimé le bois de chauffage et l’instant, dans le temps, du decrescendo, j’ai vu de Lacan l’enfant salaud,
la mère porteuse et l’homme clou, les structures toutes dures et les violes psychiques des identifications magiques, les meurtres classiques.
L’Espèce
Je suis dans l’écologie du langage où vos mâchoires voyagent en rétropédalage, j’ai rendu les objets, mais la courbe de l’enfer a mordu l’angle de terre, c’est zombiland pour moi, j’ai pas les os aveugles, je ne vis pas dans les images de voix et la poudre à narines des distributeurs d’urine. L’homoengendrement ratisse et mange les formes, l’impossible physicalise son retour. Il n’y a presque plus de contre-jour . Je ne peux pas dire l’amour car cela n’est plus un sujet. C’est une vantardise en surjet, une surface bleue de chasse. Je n’ai pas le corps au jeu. Il est trop spongieux. Et tout a eu lieu.
Les cartes de voix ne me laissent pas placide et combustible devant un génocide, je n’arrive pas à éjecter le réel hors cervelle, mon désir n’est pas structuré comme un empire. J’ai appris à mourir.
Et j’ai une immense capacité de retrait depuis que j’ai mesuré le rapport à l’Objet. Et je vois. Et je voix.
Le foutre voix des ondes, le tri, les culpabilités débordées qui achèvent les chevaux de la pensée.
Et les bambouseraies artificielles. Et les économies sacrificielles vendre la viande dans des culbutes de remboursement impossible de récits intangibles.
La vulgarité vibre.
Je trouve que la singularité n’est plus du tout du côté de la transgression.
Que le Politique est devenu transgression.
Et que la transgression ne frotte plus rien, ne déplace plus rien.
Une soupe de latences qui bout, de grumeaux d’images, d’arnaques, de vulgarités.
De toute façon la dictature financière
c’est un truc à structure prépubère …
C’est la valve du sphincter
A ce rythme de l’amore au rat, de l’indistinction,
que veux-tu qu’il reste des conditions de l’espèce et de l’éducation.
Alors mes puputes, on cahute entre la commandenture invisible de la main du futon convertible de l’idéologie transgressive et le collier de métaphores qui vend pas la Voix des morts ?
On chambre sa quille, on se maquille, on hésite entre l’anguille spéculaire des sanctuaires et la langue native téléportative ?
Vous voulez un petit coup de pied au cul, un tourbillon d’inconnu ?
Voilà je suis comme ça maintenant. A cause du monde liquide qui vide les corps. Sèche, verticale, anti-diversion, sans dispersion, grise, efficace, tutrice, pas baisante, pas fantaisiste, anti-flou, utile et militaire, tellement la chimère financiaro cathodique, libero-effractante, elle est doucement violente.
Voilà, faut tenir raide comme ça. Toute raide comme ça.
Voragine Fosproy face Élodie Després pile
(10 mars 2024 - 31 mars 2024 avec réminiscences sur 2023 et 2022)
Un film de Élodie Desprès Stéphane Elmadjian Musique Delphine Ciampi et Anne Gouverneur Produit par Agiti Films Le 1Bis Christian Cesbron Avec LOU, Milo, Blanka, Alain Wagner, Fifax Vermeulen ...
le comte Salvatore de Spada au 1° plan, essuyant assiette puis visage et autres foutraqueries
La majeure partie de la planète est en confinement. La France n'y échappe pas, pas de petit village de la Gaule qui résiste à l'envahisseur. Cette fois ci, nous devons tous rester chez nous pou...
le silence est une pute pendant le confinement
Un film d'Élodie Desprès et Stéphane Elmadjian Avec James D. Lee Produit Par Agiti Films - Le 1bis - Christian Cesbron © 2015
love is my way / la viande c'est du meurtre / bienvenue dans ce monde criminel / les bébés aussi veulent devenir criminels
Pavés froids par le duo: Le Silence est une pute.
Chanson d'amour d'un nouveau jour Nouveau morceau du duo Le Silence est une pute, Elodie Desprès: texte et voix, Delphine Ciampi-Ellis: guitares. Dessin d'animation: Mathilde Philipon-Aginski ...
s. f. (a-ma-dri-a-d') (Terme de mythologie) Nymphe des bois qui naissait et mourait avec l'arbre dont la garde lui était confiée. (Définition du Littré) " Je suis de l'espèce, pas d'une cultur...
Je suis de l'espèce, pas d'une culture, pas d'un réseau, pas d'une scène. Que flambent ces chapelles où tout pouvoir délabre et la veine et l'arbre. " C'est depuis cette sagesse tragique qu'Hamadryade, la femme arbre, décrit la destruction du lien qui unit le langage au destin des réalités. Elle parle depuis son corps que la pulsion tranche et retranche, et sauve à mesure la sagesse élémentaire que la destruction lui laisse encore entendre. Dans cette ultime métaphore, ce corps voix est le miroir véritatif d'un monde dévasté par la trahison, le silence et le pouvoir.
oh mother oh water car on ne sait rien
Le souffle des raisons ou la joyeuse rencontre entre le philosophe et la musicienne ou comment une femme se saisit du naturalisme de Marcel Conche pour l'amener sur des chemins d'imprévus
Jean-Philippe Pierron, philosophe | Les grands entretiens de Mazarine Pingeot
Mazarine Pingeot reçoit Jean-Philippe Pierron philosophe, spécialiste de la question du soin et de l'éthique médicale. La spécialisation de Jean Philippe Pierron sur les questions du soin et d...
Jean-Philippe Pierron philosophe, spécialiste de la question du soin et de l'éthique médicale. Il fut son professeur de philo au lycée de Beaune.
à l'aide d'une langue extrêmement sensible et sensuelle, poétique, le philosophe Jean-Philippe Pierron poursuit son exploration écobiographique (voir son précédent livre dans la collection Mondes Sauvages : "Je est un nous") pour révéler l'importance primordiale de gestes en apparence triviaux et anodins, ceux du jardinier, du paysan, de l'artisan, du cuisinier, mais aussi ceux du musicien, du danseur et de l'écrivain, dans l'élaboration concrète et quotidienne, profonde et le plus souvent tue, d'une manière d'être au monde révélatrice d'un souci, d'une attention portée au monde et aux vivants qui cohabitent avec nous.
Marlon Brando (1924-2004)
Sex-symbol de l'Amérique des années 50, il a notamment défendu les droits civiques. Voici la vie de l'acteur mythique Marlon Brando racontée par Samuel Blumenfeld, l'auteur du livre " Les derni...
par Samuel Blumenfeld, critique de cinéma et grand reporter au journal Le Monde, l'auteur du livre "Les derniers jours de Marlon Brando" 2019
Les derniers jours de Marlon Brando
Samuel Blumenfeld Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite (https://ausha.co/politique-de-confidentialite) pour plus d'informations.
podcast passionnant de 2019 de la librairie Ombres blanches de Toulouse, mis en ligne le 21 février 2024 / l'interview intime par Truman Capote de Marlon Brando et autres "anecdotes"/
Marlon Brando, un acteur nommé désir - Regarder le documentaire complet | ARTE
Avec sa présence irradiante et son phrasé unique, Marlon Brando a marqué le cinéma d'une empreinte indélébile. Ce portrait intime explore les multiples facettes du génie torturé, disparu en...
https://www.arte.tv/fr/videos/050358-000-A/marlon-brando-un-acteur-nomme-desir/
(ce film de 2013 sur cet acteur déjà mort présenté et accepté comme un séducteur compulsif et même prédateur par une de ses relations de 10 ans, Rita Moreno, l'Anita de West Side Story, en rien accusatrice, ne serait plus possible aujourd'hui / quant à l'acteur, il serait voué aux gémonies) / par la voix sublime du narrateur Thierry Hancisse de la comédie française, j'apprends que Cheyenne, sa fille, après avoir dit j'ai toujours été l'agneau du sacrifice de Marlon, s'est suicidée par pendaison, le jour de Pâques le 16 avril 1995 à Punaauia, dans l'île du père / jusqu'au 27/10/2024
Marlon Brando, un acteur nommé désir | ARTE Cinema
Avec sa présence irradiante et son phrasé unique, Marlon Brando a marqué le cinéma d'une empreinte indélébile. Ce portrait intime explore les multiples facettes du génie torturé, disparu en...
(ce film de 2013 sur cet acteur déjà mort présenté et accepté comme un séducteur compulsif et même prédateur par une de ses relations de 10 ans, Rita Moreno, l'Anita de West Side Story, en rien accusatrice, ne serait plus possible aujourd'hui / quant à l'acteur, il serait voué aux gémonies) / par la voix sublime du narrateur Thierry Hancisse de la comédie française, j'apprends que Cheyenne, sa fille, après avoir dit j'ai toujours été l'agneau du sacrifice de Marlon, s'est suicidée par pendaison, le jour de Pâques le 16 avril 1995 à Punaauia, dans l'île du père /
Comment Marlon Brando est-il devenu un mythe du cinéma américain ? Réponse avec Anne Akrich, auteur du livre : " Il faut se méfier des hommes nus ". Du lundi au vendredi, Claire Chazal explore ...
"Il faut se méfier des hommes nus" Anne Akrich, 2017
Anne Akrich sur les traces de Marlon Brando dans "Il faut se méfier des hommes nus"
Thierry Frémaux, directeur de l'Institut Lumière et délégué général du Festival de Cannes, publie "Sélection officielle", le journal d'une année dans la vie d'un boulimique de cinéma. Il ...
Anne Akrich sur les traces de Marlon Brando dans "Il faut se méfier des hommes nus", 2017
Notre ami François Forestier consacre un livre passionnant à cet immense acteur, qui multiplia les coucheries (3000 dit la légende) et finit en roi fainéant noyé dans sa propre graisse (160 kg) / critique par Pascal Bruckner Un si beau monstre, par François Forestier, Albin Michel, 288 p., 2012 / pour mémoire, Giacomo Casanova : 122 femmes conquises, séduites, don Juan 1003
quelques femmes parlent de Marlon Brando
article du 4/4/2010 réactualisé ce 3/4/2024
Marlon Brando
(1924-2004)
Blanche meets Stanley
dans Un Tramway nommé désir
(A Streetcar Named Desire)
d'Elia Kazan (1951)
trouble et sensualité: c'est bien le tramway nommé désir
Marlon Brando et Mary Murphy
dans L'Équipée sauvage
(The wild one)
de Laslo Benedek (1953)
l'échange de sourires est magnifique de profondeur et de luminosité
Marlon Brando~'You Must Be Stanley' ~Streetcar Named Desire
Blanche meets Stanley...
https://www.youtube.com/watch?v=o_lToyPAUyE&feature=youtu.be
1951
Marlon Brando - L'équipée sauvage
The Wild One. Film américain réalisé par László Benedek avec Marlon Brando et Mary Murphy - 1953
1953
Terry and Edie's scene in On the Waterfront
Wonderful scene between Terry (Marlon Brando) and Edie (Eva Marie Saint). Her dropping the glove was not in the script, but Brando picked it up and improvised. The director (Elia Kazan) loved it and
https://www.youtube.com/watch?v=dHtJUWO7yeA&feature=youtu.be
1954
Sayonara - Regarder le film complet | ARTE
Un as américain de la guerre de Corée (Marlon Brando) s'éprend malgré lui d'une danseuse japonaise... Réalisé en 1957 par Joshua Logan, ce film creuse avec une surprenante liberté de ton le ...
1957
Sleep on the Wind - The Fugitive Kind
The Fugitive Kind (1959)
https://www.youtube.com/watch?v=jCGgXdeBC-M&feature=youtu.be
1959
La Vengeance aux deux visages (film, 1961) Western
Sonora, un village mexicain, en 1880. Rio et Dad Longworth pillent la banque locale et fuient, poursuivis par les Rurales. Le cheval de Rio est atteint par une balle, et Dad poursuit sa route après
le seul film réalisé par Marlon Brando, 1961
Réflexions sur " Reflets dans un œil d’or ", un film de John Huston
Résumé : L'objet de cet article est d'interpréter un film de John Huston, Reflets dans un œil d'or, en développant les concepts de réflexions analysés notamment par Sartre, Teilhard de Chard...
https://unphilosophe.com/2022/05/09/reflexions-sur-reflets-dans-un-oeil-dor-un-film-de-john-huston/
1967
Pour Maria Schneider - Blog de Jean-Claude Grosse
le dernier tango ne fut pas ce que l'on a cru article du 5 mai 2011, réactualisé avec la disparition le 26 novembre 2018, de Bernardo Bertolucci ...
https://les4saisons.over-blog.com/article-pour-maria-schneider-73216858.html
le dernier tango à Paris, 1972
Marlon Brando's Best Actor Oscar win for "The Godfather" | Sacheen Littlefeather
Sacheen Littlefeather refuses to accept the Best Actor Oscar® on behalf of Marlon Brando for his performance in "The Godfather" at the 45th annual Academy Awards® in 1973. Liv Ullmann and Roger ...
refus de l'oscar 1973 pour laisser place aux Indiens via Sacheen Littlefeather
Missouri Breaks - Regarder le film complet | ARTE
Pour lutter contre une bande de voleurs de chevaux, un grand propriétaire du Missouri fait appel à un célèbre chasseur de primes... Fruit du courant libertaire des années 1970, "Missouri Break...
1976
Les Oscars s'excusent auprès de l'Amérindienne Sacheen Littlefeather, près de 50 ans plus tard
Presque 50 ans après avoir été huée sur la scène des Oscars pour avoir refusé, au nom de Marlon Brando, une récompense en protestation contre le traitement par Hollywood des Amérindiens, Sa...
Les Oscars s'excusent auprès de l'Amérindienne Sacheen Littlefeather, près de 50 ans plus tard
Revenir d'apocalypse / now ? - Blog de Jean-Claude Grosse
le trou noir qu'est tout un chacun " Mon film n'est pas un film. Mon film ne traite pas du Vietnam. Il EST le Vietnam. Exactement comme il était. C'était fou. Et la façon dont nous l'avons tourn...
https://les4saisons.over-blog.com/2021/11/revenir-d-apocalypse/now.html
1979
With a powerhouse cast, Robert De Niro, Marlon Brando, Edward Norton, and Angela Bassett star in Frank Oz's entertaining if very formulaic heist thriller The Score - now on 4K Ultra HD Blu-ray from
2001, dernier film dans lequel apparaît Marlon Brando
C'était quoi Marlon Brando ? - Blow up - ARTE
Profitons de la soirée spéciale Marlon Brando ce week-end sur ARTE pour évoquer la carrière de l?acteur en 10 petites madeleines. http://cinema.arte.tv/fr/magazine/blow-up
Blow up - Face à l'Histoire : Marlon Brando - Regarder le film complet | ARTE
Le Parrain toujours et plus précisément Marlon Brando, Don Corleone pour l'éternité. Mais au fait, quels sont les rapports que Marlon Brando a entretenu avec la grande Histoire ?
https://www.arte.tv/fr/videos/072401-068-A/blow-up-face-a-l-histoire-marlon-brando/
jusuq'au 20/3/2025
Marlon Brando - Polynésie, la paix retrouvée - Regarder le documentaire complet | ARTE
Marlon Brando, dont on célèbre en 2024 le centenaire de la naissance, a rêvé de faire de l'atoll de Tetiaroa, en Polynésie française, un sanctuaire naturel ouvert aux scientifiques. Un projet...
https://www.arte.tv/fr/videos/117167-000-A/marlon-brando-polynesie-la-paix-retrouvee/
faire de l'atoll de Tetiaroa, en Polynésie française, un sanctuaire naturel ouvert aux scientifiques. / jusqu'au 30/5/2024
Welcome to Paris : innocent monstre - Blog de Jean-Claude Grosse
sur RTL, le 9 avril 2024 / metoo démarre en octobre 2017 à la suite de l'affaire Weinstein, cinéma puis sport puis théâtre puis armée puis hôpital puis médias bref partout c'est donc qu'il ...
https://les4saisons.over-blog.com/2023/12/un-fait-social-global-la-chute-de-l-ogre.html
l'affaire Depardieu, fait social global selon la définition de Marcel Mauss / metoo a démarré en octobre 2017 avec l'affaire Weinstein / Depardieu a été laché en quelques mois / Kevin Spacey a été blanchi de toutes les accusations qui lui ont coûté sa carrière, tant aux USA qu'en GB / attendons que les plaintes contre Depardieu soient jugées